vendredi 5 août 2016

C'était l'été

L'été se trouve à mi chemin *
Les magasins ont sorti leur rentrée des classes.
La maison est vide :  nos amis étrangers sont repartis et nous restons dans la maison soudain silencieuse avec nos chats.

Et il y a comme un gros besoin de vacances, de mer, de sommeil...
Mon tour viendra pour les vacances... après avoir rangé la Table.
Non pitié ! pas la table !!!  oui mais aujourd'hui,  jour de repos, je me suis déplacé à GrandeVille pour régler un super problème administratif qui traînait et pour lequel un être humain en chair et en os quoique fonctionnaire  m'a tendu la main alors que je me heurtais depuis des mois à des serveurs vocaux surtaxés.



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Il ne me reste plus qu'une dizaine de problèmes administratifs du même tonneau à régler et je pourrai me reposer ... peut être.
Je rêve des concerts et des spectacles auxquels je n'ai pu assister.

Et je me réjouis de ceux qui m'ont été donnés
Je revis les moments heureux et les échanges de ce mois de juillet.


Pa va un peu mieux et je voudrais lui faire partager quelques extraits de ce "mi été " qui a filé si vite...

     



L'ombre de l'automne est encore loin...





*ceux qui ont pensé "comme le pneu" sont aussi tarés que moi

6 commentaires:

  1. vacances, mer et sommeil, je te les souhaite!

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  2. Merci Adrienne je ne touche plus terre depuis qq mois et me désole de manquer de temps pour mes amis IRL et mes blogamis Je prendrai une vraie semaine de vacances et je crois que je vais commencer par dormir te souhaite un bel été Adrienne

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  3. Bon anniversaire, cher Zigmund !

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  4. Merci à toi Walrus le jour de mon anniversaire j'ai bossé jusqu'à 20h alors que je devais finir tôt ... je suis arrivé comme un zombie à la maison ... je regarde la consigne du défi régulièr(ement et me désole doublement - soit elle m'inspire et je manque de temps pour la traiter - soit elle ne m'inspire pas et je me désole parce qu'"avant " qd la consigne ne m'inspirait pas le défi était plus grand et j'avais à coeur de le relever ... un coucou à tous les amis défiants j'ai réellement l'espoir de revenir aux joutes littéraires et de laisser les plus jeunes continuer mon combat

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    1. Nous t'attendons : notre patience est infinie (dans la limite toutefois de la durée de nos existences). Courage cher Docteur !

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    2. merci encore Walrus ça fait chaud au coeur

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