samedi 8 mai 2010

Méli mélo de neuf trois

Qu'est ce qu'il y a trois ?
Trois ours en lutte  contre la squatteuse  SDF  boucle d’or ont  bercé mon enfance.
(mais que fait l'aide sociale ? )

dimanche 2 mai 2010

petite ballade


2 Mai 2010 , Rédigé par Zigmund
Suivez moi...je rends visite à des amis 

Je vous laisse goûter l'odeur entêtante de la glycine.
 


  Un petit  coup d'oeil au déversoir, au lavoir , et à l'ancien moulin.
Autrefois, quand le moulin fonctionnait, il restait éclairé toute la nuit et,  détail amusant, le toit était couvert de taches blanches de farine. Quand il a été à vendre, nos amis ont rêvé de l'acquérir avec un groupe de copains et ont renoncé. Il a été acheté et rénové par des comédiens et musiciens , n'est pas encore totalement habitable mais aux beaux jours s'y déroulent des concerts dans une belle ambiance. 


-----En face du moulin , voici le magasin de pompes funèbres. Pendant longtemps, à cet emplacement il y avait un garage  spécialisé dans l'électricité auto et qui organisait de temps en temps  des réunions de tunning. Les amis qui habitent ici supportaient stoïquement. Avoir les pompes funèbres  comme voisins c'est sûrement moins gai, mais beaucoup plus calme. --- 
nous voici arrivés sur la place avec  le château et l'ancien tribunal (style empire)...sur cette même place , en face du château se trouve une mairie  style station service d'un goût discutable.
z

samedi 1 mai 2010

Lettre à Elise

Ecrit pour le défi du samedi consigne #104  zigmund
c/o samedi défi
somewhere on the net
                                                      à madame  Elise Filou (bangster légale)

Madame,
Je vous écris pour que vous cessiez de m’importuner à mon domicile. Votre insistance devient gênante et mon épouse commence à se lasser de vos indécentes relances.
Non, ce n’est point chez nous que vous caserez vos actions bonnes ou mauvaises,  gardez vos assurances  bien peu rassurantes, vos subprimes malodorantes.
Je profite de cette lettre pour vous indiquer à quel point nous avons été choqués de votre appel pour que je justifie  un chèque conséquent fait  en prêt à un ami, et je regrette de n’avoir pas pensé à vous faire croire  que j’entretenais une danseuse    en cachette de mon épouse ou que, devenu yakusa, je souhaitais blanchir de l’argent honteusement gagné.
 De même, j’ai fort peu apprécié que lors du dépôt sur mon livret d’une somme pour faire des travaux dans ma maison, vous ayez cru bon de me proposer un prêt (à un taux double) pour ces mêmes travaux. Je vous sais coutumière du fait puisque je vous ai vu proposer un crédit revolving à un chômeur  déjà sur endetté.
J’ai encore nombre de reproches à faire à vous et vos semblables, qui vous êtes rendus indispensables et entendez maintenant nous faire payer
Vous êtes l’illustration vivante de la  fameuse  phrase de Georges Bernard Shaw :  «  un banquier est un homme  qui vous prête un parapluie quand il fait beau pour vous le reprendre dès qu’il pleut ».
Mais surtout, sachez qu’il est inutile de nous relancer pour vos produits financiers et ayez l’obligeance d’arrêter de tripoter mes comptes.
En espérant avoir été compris,  je  vous prie d’agréer, Madame l’expression de mes salutations inamicales.
Zigmund
usager non usagé mais u par vos usures.