28 mai 2009
Ecrit pour le défi du samedi
difficile la consigne #62 du défi du samedi
3 musiques à écouter à partir desquelles écrire un texte
les autres textes à lire sont là
On commence par écouter les trois extraits de musique.
L’un m’inspire immédiatement, je la tiens mon histoire…eh non ! c’est raté, j’ai oublié de lire le titre et l’extrait choisi sera repéré dès les premiers mots.
Un autre me laisse de glace, et je le regrette, car j’imagine que Janezka qui a sélectionné ces extraits, aime ces musiques et souhaitait nous les faire découvrir.
Le dernier évoque des images contradictoires, et me permet un lien avec le premier abandonné…pas clair tout çà , et en plus va falloir transcrire…prise de tête …merci samedi défi !
Bon vous l’aurez voulu ! Je vous emmène faire un petit tour.
Cà commence, très loin, au milieu de nulle part, le bout du monde (le mien en tout cas) est par là. Notre mini bus traverse ce paysage de roches rouges, où les drapeaux à prières sont les seuls signes de présence humaine. Tout concourt au calme et à la méditation. (on fera abstraction du bruit du mini bus ! )
Maintenant pourquoi mes pensées dévient elles vers Ségolène ? A cause de la traversée du désert ?
Non ne croyez pas que je vienne ici politiser le défi (quoique…), qu’allez vous imaginer ?
Ségolène est un poisson, plus exactement un labéo bicolore noire à queue rouge. Ce genre de poisson a la particularité d’agacer sans méchanceté les autres poissons, mais chez moi, elle évolue dans un grand aquarium de 400 litres dépeuplé, donc, elle s’ennuie un peu et je ne suis pas sûr qu’elle soit du genre contemplatif. Nous laisserons de côté les raisons de la solitude de Ségolène, seule survivante de catastrophes diverses, qui endeuillèrent l’aquarium.
De la solitude du Qinghai au dépeuplement de mon aquarium j’ai franchi le pas, en écoutant la musique.
Déconseillée aux personnes sensibles, la promenade se poursuit dans les salles de soins intensifs : ici la même solitude, le même vide, ce faux silence des monitorings, qui réunit soignants et malades. Tout bruit cardiaque qui se fait remarquer entraine une réaction…Dans les hôpitaux,( c’est bien connu) ces salles toutes vitrées à surveillance renforcée s’apellent des aquaruims. Ecoutez cette musique, angoisse de la maladie, et espoir de survie…
Sortons d’ici sur la pointe des pieds, un petit remontant ne nous fera pas de mal, il parait que le café du défi vaut le détour .
.Z
difficile la consigne #62 du défi du samedi
3 musiques à écouter à partir desquelles écrire un texte
les autres textes à lire sont là
On commence par écouter les trois extraits de musique.
L’un m’inspire immédiatement, je la tiens mon histoire…eh non ! c’est raté, j’ai oublié de lire le titre et l’extrait choisi sera repéré dès les premiers mots.
Un autre me laisse de glace, et je le regrette, car j’imagine que Janezka qui a sélectionné ces extraits, aime ces musiques et souhaitait nous les faire découvrir.
Le dernier évoque des images contradictoires, et me permet un lien avec le premier abandonné…pas clair tout çà , et en plus va falloir transcrire…prise de tête …merci samedi défi !
Bon vous l’aurez voulu ! Je vous emmène faire un petit tour.
Cà commence, très loin, au milieu de nulle part, le bout du monde (le mien en tout cas) est par là. Notre mini bus traverse ce paysage de roches rouges, où les drapeaux à prières sont les seuls signes de présence humaine. Tout concourt au calme et à la méditation. (on fera abstraction du bruit du mini bus ! )
Maintenant pourquoi mes pensées dévient elles vers Ségolène ? A cause de la traversée du désert ?
Non ne croyez pas que je vienne ici politiser le défi (quoique…), qu’allez vous imaginer ?
Ségolène est un poisson, plus exactement un labéo bicolore noire à queue rouge. Ce genre de poisson a la particularité d’agacer sans méchanceté les autres poissons, mais chez moi, elle évolue dans un grand aquarium de 400 litres dépeuplé, donc, elle s’ennuie un peu et je ne suis pas sûr qu’elle soit du genre contemplatif. Nous laisserons de côté les raisons de la solitude de Ségolène, seule survivante de catastrophes diverses, qui endeuillèrent l’aquarium.
De la solitude du Qinghai au dépeuplement de mon aquarium j’ai franchi le pas, en écoutant la musique.
Déconseillée aux personnes sensibles, la promenade se poursuit dans les salles de soins intensifs : ici la même solitude, le même vide, ce faux silence des monitorings, qui réunit soignants et malades. Tout bruit cardiaque qui se fait remarquer entraine une réaction…Dans les hôpitaux,( c’est bien connu) ces salles toutes vitrées à surveillance renforcée s’apellent des aquaruims. Ecoutez cette musique, angoisse de la maladie, et espoir de survie…
Sortons d’ici sur la pointe des pieds, un petit remontant ne nous fera pas de mal, il parait que le café du défi vaut le détour .