Après quelques jours passés au calme dans la campagne aveyronnaise, nous voici projetés dans la ville, jonglant maladroitement avec les bretelles d'autoroute, aidés et surtout baladés par Mouloud 2 le GPS du portable qui joue avec nos nerfs en nous proposant des chemins improbables.
La rocade n'est pas la seule chose compliquée : ici la vie est différente aussi embrouillée que ces entrelacs de routes aux noms exotiques.
J'avais exprimé un souhait : aller enfin visiter le musée des Augustins autrement que sur internet. Cette micro exigence a donné lieu à une micro satisfaction : je n'ai pas à me plaindre, puisque j'ai passé la porte du musée pour prendre connaissance des horaires d'ouverture et comprendre que le temps allait manquer même pour une visite rapide.
Fabulous Trobadore-Toulouse est sarrazine par Leacecco
Alors, comme les années précédentes, nous avons fait le marathon pour consacrer un peu de temps à chaque membre de la famille.
Après avoir déposé quelques pierres sur les tombes du cimetière, nous sommes retournés gérer et visiter les vivants.
Il y a eu la visite à ma tante (destinataire de ce message personnel) qui, cette fois ci, n'a pas posé de questions embarrassantes, sur maman comme si elle craignait que je lui dise la vérité ou peut être pour ne pas me pousser à lui mentir. J'en suis sorti plus peiné que l'été dernier.
Il y a eu la gestion des malades, les explications, les incompréhensions, les conseils à donner, les maladresses et surtout ce marathon incessant pour donner à chacun un peu de temps et d'écoute.
Nous avons semé derrière nous quelques pots de la confiture d'oranges amères confectionnés avec les derniers fruits de la saison juste avant le voyage.
Douceur et amertume...
Le retour dans notre monde si différent est un plaisir.
Les chats ont apparemment été sages, les plantes de la serre ont poussé, la table est presque rangée, mon ordinateur malade rentre de l'hôpital... fin de la parenthèse.
Après avoir déposé quelques pierres sur les tombes du cimetière, nous sommes retournés gérer et visiter les vivants.
Il y a eu la visite à ma tante (destinataire de ce message personnel) qui, cette fois ci, n'a pas posé de questions embarrassantes, sur maman comme si elle craignait que je lui dise la vérité ou peut être pour ne pas me pousser à lui mentir. J'en suis sorti plus peiné que l'été dernier.
Il y a eu la gestion des malades, les explications, les incompréhensions, les conseils à donner, les maladresses et surtout ce marathon incessant pour donner à chacun un peu de temps et d'écoute.
Nous avons semé derrière nous quelques pots de la confiture d'oranges amères confectionnés avec les derniers fruits de la saison juste avant le voyage.
Douceur et amertume...
Le retour dans notre monde si différent est un plaisir.
Les chats ont apparemment été sages, les plantes de la serre ont poussé, la table est presque rangée, mon ordinateur malade rentre de l'hôpital... fin de la parenthèse.