vendredi 12 juillet 2013

Jouer à "où est Charlie?"

 Profitant de l'hospitalité de proches, nous sommes revenus au festival des affranchis à la Flèche.
Deux jours de spectacles de rue et un avant goût de vacances : ici, personne ne me connaît et je peux marcher librement sans me faire agresser par mes patients bien aimés( le "faudrait que j'vous voie pour mes yeux ! " me sort par les yeux et me gâche mes loisirs régulièrement).

 En plus de nos hôtes, partis vadrouiller dans la ville, en nous laissant les clefs, il y a quelqu'un que je souhaite rencontrer : l'ami Joe Krapov dont les écrits égaient entre autres les "défis du samedi " et qui partage sur son blog les photos de ses voyages.
L'an dernier, nous nous étions donné rendez vous pour un spectacle de la compagnie : le bruit qui court
mais, sans doute subjugués par cette Carmen farfelue, nous n'avions pas su nous reconnaître alors que nous étions assis à quelques mètres l'un de l'autre !
Cette année, nous avions choisi la facilité : le rendez vous était fixé à l'étoile du Maroc heure et jour précis, couscous et thé à la menthe...
Joe  et Marina vous diront que Gabrielle et moi mentons comme arracheurs de dents.
Il a tenté avec Gabrielle de me convertir aux échecs que ces fous ne conçoivent qu'à travers l'ouverture Bird ! Il est vrai que j'avais proposé à Marina  de l'initier au Tui shou lors des prochaines rencontres Jasnières. Mais contrairement à ce qu'il déclare, je n'avais pas l'intention de partager ma tente palace. Gabrielle n'a pas les idées aussi larges qu'une tente 8 places... 
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Pendant ces deux jours, nous avons déambulé  ensemble ou séparément au gré des spectacles : la compagnie  "le bruit qui court" (toujours elle, une valeur sûre !)nous a gratifiés de "Hamlet en 30 minutes". 
Bonheur et  rigolade pour nous, spectateurs, souffrance et improvisation difficile pour les acteurs car d'aucuns avaient décidé de se marier dans l'église proche : les cloches ont sonné pendant la moitié du spectacle ! Penser à militer pour l'interdiction des mariages le samedi des affranchis...

 


un lumbago sournois  probablement lié aux contorsions obligatoires pour assister à certains spectacles m' empêche d'organiser et de choisir  les photos des spectacles et  d'écrire plus longuement.

à suivre ...







pas de lambada avec un lumbago


Cette chanson me trotte dans la tête et aussi  cette blague : Monsieur et madame Le Martyr ont un fils : Youssouf 
Depuis dimanche soir, je suis bloqué par un lumbago.
Et mercredi matin, un torticolis est venu tenir compagnie au lumbago.
Je vous épargne mes hurlements au réveil  quand la moindre idée de mouvement déclenche une contracture.
J'ai aussi pu tester la solidarité des docs et pharmaciens twittos avec une aide pour le traitement antalgique    (parce que l'Escale est un désert pharmaceutique)(merci à eux :-))
Mon dernier lumbago remonte à une petite vingtaine d'années, je l'avais soigné par le mépris jusqu'à ce qu'une nuit je me retrouve bloqué et hurlant dans mon lit.
J'ai rapidement compris qu'il faudrait limiter l'ordi et la position assise. Et j'ai limité mes interventions sur la toile au strict minimum en utilisant l'Iphone, ce qui explique mon absence de commentaires sur les blogs des amis)
Merci à l'ami Joe Krapov de se montrer patient pour que je donne ma version de notre IRL. La sienne se trouve là (cliquez sur le Z   http://krapoveries.canalblog.com/archives/2013/07/09/27606505.html) en 4 épisodes courts 


  
--et pour les démos de ce style (j'assume totalement la kitchitude du truc) on attendra un peu !
 

vendredi 5 juillet 2013

quand je pense à Fernande ...


Fernande, 75 printemps,  n'est pas une vraie Léontine. Elle est vive, répond bien aux questions ...
Depuis 15 ans je mène une lutte acharnée contre ses préjugés.