un petit billet vite fait (même pas polémique, ça va vous changer un peu)
comme de petits cadeaux pour pâques,
juste pour fêter la vacuité (provisoire) de la table pour cause de repas familial.
les deux premiers liens nous ont été transmis par une consoeur
vous prenez la formule mathématique suivante
1.2+(sqrt(1-(sqrt(x^2+y^2))^2) + 1 - x^2-y^2) * (sin (10 * (x*3+y/5+7))+1/4) from -1.6 to 1.6
vous copiez collez ça dans google et normalement vous avez une belle surprise.
(si ça ne fonctionne pas je vous enverrai la formule par mail)
le deuxième étonnera ceux qui me connaissent et qui savent mon hermétisme à la danse, il pourrait s'intituler "jeux de mains jeux de jolies", bon la musique qui va avec c'est pas vraiment ma tasse de thé.
http://www.wimp.com/chinesehands/
Enfin, on fête aujourd'hui le 182ème anniversaire de Eadward Muybridge dont j'ai découvert l'existence à partir du photographe de Philip Glass : il parait que la video peut en choquer certains car on voit des gens qui dansent nus. Donc que les pudiques se contentent d'écouter la musique...
lundi 9 avril 2012
samedi 7 avril 2012
Bésicles
-en réponse à la consigne #188 du défi du samedi
-Drôle d'idée que celle de se transformer en un objet ou de s'identifier à lui...
J'hésite un peu quand même : et si la transformation devenait définitive hein ?
Mon stylo plume
qui glisse encore sur le papier avant d'origamiser la lettre pour un parent lointain non connecté, a déjà raconté son histoire.
Mon basson bien aimé si souvent maltraité ? il s'est déjà exprimé pour dire nos désaccords.
Mon épée de tai chi ? mon sabre ? mon éventail de combat ? Ils sont bien trop guerriers, je suis loin d'être un expert et exhiber des armes en cette période serait mal vu.
Et puis je suis tombé sur la série "B Siclas"*.
Il s'agit de la collection de lunettes de ma compagne. D'abord j'y ai mis du mien dans ces lunettes, puisque c'est moi qui ai soigneusement déterminé la puissance des verres. Quand elle a admis, il y a plusieurs années, qu'il lui faudrait porter une correction optique, Gabrielle a dit : d'accord je veux bien, mais je veux une monture originale.
Chez l'opticien, elle a jetté son dévolu sur la plus belle monture du présentoir, en déclarant : "entre cette monture et moi commence une histoire d'amour !" Bien qu'un peu jaloux, j'ai du reconnaitre qu'elle n'avait pas tort : toutes les autres montures faisaient pâle figure à côté de celle qui avait trouvé grâce à ses yeux.
Depuis, tous les 3 ans, après un rapide contrôle chez moi, elle se rendait chez l'opticien du coin pour voir les nouveautés de la marque et revenait fière de sa nouvelle acquisition. Néanmoins les précédentes montures restaient "en secours" au cas où l'histoire d'amour du moment se brise.
Gabrielle a malheureusement du stopper sa collection ... On raconte que cette marque a fait faillite après que le patron de la branche française ait mis les voiles avec la caisse et il ne s'est plus trouvé de monture originale qui accroche le regard de ma compagne. Alors elle chouchoute au maximum ses protégées pour qu'elles durent longtemps en attendant peut être, un jour, un nouveau coup de foudre.
Je voudrais être les lunettes de Gabrielle, celles qui lui permettent de voir le monde, peut être pas plus beau, mais tellement plus net. J'aime quand elle les enlève un moment pour les essuyer délicatement, j'aime quand elle se pince le nez à l'endroit où les patins ont marqué son nez. Mes branches caressent doucement ses oreilles. Et si parfois elle enlève ses lunettes, pendant un court instant, elle coince une branche dans son chemisier...alors oui, mon choix de transmutation s'arrête définitivement sur cet objet qui ne la quitte pas.
*PS J'ai du changer le nom rigolo de ces lunettes histoire de m'éviter un procès parce que le monde de l'optique est sans pitié.
Z
-Drôle d'idée que celle de se transformer en un objet ou de s'identifier à lui...
J'hésite un peu quand même : et si la transformation devenait définitive hein ?
Mon stylo plume
qui glisse encore sur le papier avant d'origamiser la lettre pour un parent lointain non connecté, a déjà raconté son histoire.
Mon basson bien aimé si souvent maltraité ? il s'est déjà exprimé pour dire nos désaccords.
Mon épée de tai chi ? mon sabre ? mon éventail de combat ? Ils sont bien trop guerriers, je suis loin d'être un expert et exhiber des armes en cette période serait mal vu.
Et puis je suis tombé sur la série "B Siclas"*.
Il s'agit de la collection de lunettes de ma compagne. D'abord j'y ai mis du mien dans ces lunettes, puisque c'est moi qui ai soigneusement déterminé la puissance des verres. Quand elle a admis, il y a plusieurs années, qu'il lui faudrait porter une correction optique, Gabrielle a dit : d'accord je veux bien, mais je veux une monture originale.
Chez l'opticien, elle a jetté son dévolu sur la plus belle monture du présentoir, en déclarant : "entre cette monture et moi commence une histoire d'amour !" Bien qu'un peu jaloux, j'ai du reconnaitre qu'elle n'avait pas tort : toutes les autres montures faisaient pâle figure à côté de celle qui avait trouvé grâce à ses yeux.
Depuis, tous les 3 ans, après un rapide contrôle chez moi, elle se rendait chez l'opticien du coin pour voir les nouveautés de la marque et revenait fière de sa nouvelle acquisition. Néanmoins les précédentes montures restaient "en secours" au cas où l'histoire d'amour du moment se brise.
Gabrielle a malheureusement du stopper sa collection ... On raconte que cette marque a fait faillite après que le patron de la branche française ait mis les voiles avec la caisse et il ne s'est plus trouvé de monture originale qui accroche le regard de ma compagne. Alors elle chouchoute au maximum ses protégées pour qu'elles durent longtemps en attendant peut être, un jour, un nouveau coup de foudre.
Je voudrais être les lunettes de Gabrielle, celles qui lui permettent de voir le monde, peut être pas plus beau, mais tellement plus net. J'aime quand elle les enlève un moment pour les essuyer délicatement, j'aime quand elle se pince le nez à l'endroit où les patins ont marqué son nez. Mes branches caressent doucement ses oreilles. Et si parfois elle enlève ses lunettes, pendant un court instant, elle coince une branche dans son chemisier...alors oui, mon choix de transmutation s'arrête définitivement sur cet objet qui ne la quitte pas.
*PS J'ai du changer le nom rigolo de ces lunettes histoire de m'éviter un procès parce que le monde de l'optique est sans pitié.
Z
jeudi 5 avril 2012
Une tortue nommée Tranxène
écrit pour mot image citation
A cette époque, j'ignorais que l'entrée des tortues d'Hermann était réglementée.
Des amis traversaient régulièrement l'Europe du sud , ils racontaient qu'en Yougoslavie au lieu de hérissons, on voyait parfois pousser les tortues sur la route.
Ils m'avaient donc offert cette tortue de contrebande qui avait voyagé sous le tapis de sol de leur voiture pour échapper aux douaniers.
dimanche 1 avril 2012
Elections souvenirs et avenirs
Depuis toujours, je me suis intéressé aux élections. Je me souviens que, quand j'étais jeune, le dimanche soir, après la proclamation des résultats, l'ambiance était morose, parce que la droite avait encore gagné et le repas du soir se passait dans un silence consterné.
lundi 26 mars 2012
JRO : journées de réflexions (pas seulement) ophtalmologiques
Encore une escapade parisienne pour un congrès d'ophtalmologie sur 3 jours.
Je suis arrivé de bon matin à la Villette bien décidé à rafraîchir et compléter mes précédentes promenades à la cité des sciences(salle des mathématiques, exploration du langage et bien sûr la fontaine turbulente) .
Les portes de la grande halle n'ouvrent qu'à midi pour le symposium franco magrébin. En attendant, je m'offre une promenade dans le parc de la Villette quasi désert.Je crois que le meilleur moment pour se laisser séduire par un coin de Paris c'est le petit matin vers 9h 10h : ni trop, ni trop peu de monde.
Les jardins sont presque vides . quelques classes d'enfants joyeux et multicolores traversent le pont sur le canal de l'Ourq en riant.
Près de la Géode, un groupe de chinois fait du tai chi chuan, au son d'une musique dégoulinante et pas toujours du meilleur gout. Je reste longtemps à les regarder, comparant leur forme à celle que je pratique. Une dame enseigne en chinois les premiers mouvements de la forme à une autre qui a visiblement du mal à mémoriser les gestes. Dès que la "chef" a le dos tourné et que l'élève a un trou de mémoire je l'aide par des gestes discrets : j'ai presque mémorisé le début.
Je retrouve la Chine que j'aime : celle des pratiquants de tai chi chuan du petit matin. Même leur musique sirupeuse ajoute au charme de la rencontre !
Je n'ai maintenant plus le temps pour la cité des Sciences, car le symposium démarre...Les jours suivants se passent de façon studieuse, avec le plaisir de rencontrer les copains éloignés qu'on ne retrouve que dans les congrès, ou de blaguer avec les collègues de ma région.
Et puis, il y a le film et l'apparition de la lumineuse navigatrice Maud Fontenoy qui fait un discours remarquable sur la préservation des espèces.
Je prends à peine le temps de "faire mon marché" tant le programme est dense .("faire son marché" consiste à passer sur les stands commerciaux labos ou marchands de matériel).
A partir de là,(allez savoir pourquoi ) je vous propose d'écouter ce morceau célèbre des Stones :sympathy for the devil ...
Le samedi, certains ophtalmos sont conviés à rencontrer le pourfendeur de délais de RDV pour écouter ses explications.
Il semble qu'il ait marqué des points, que l'ordre des médecins ne trouve rien à redire à la publicité qui fut faite, que les saintes tutelles se réjouissent, serait ce la force du fait accompli ?
Le fait que nous soyons une minorité d'"indignés" à divers degrés, ne signifie en aucun cas que nous ayons tort.( je vous laisse chercher des exemples où le petit minable et isolé a raison contre le gros vilain pas beau)
Là où entre la finance, elle sème la destruction, il faut vraiment que la médecine soit malade pour accepter un tel parasite.(je parle bien sûr de la finance loin de moi l'idée de traiter ce qui reste un confrère de parasite.)
(vous pouvez couper la musique des stones )
Gabrielle m'a rejoint et ce dimanche matin nous avons pu visiter le musée du Quai Branly .
( bien sûr je passe rapidement sur ma contrepéterie préférée : ils habitaient des gites immondes quai Branly)
Nous y avons vu des choses superbes, mystérieuses, inquiétantes.
l'album est quelque part par là. (encore sur over blog) (page 8-9-10)
Dehors, un soleil estival, la fontaine Saint Michel est cernée par un cordon impressionnant de CRS et de policiers.
Il est temps de rentrer car nous attendent pêle mèle nos chats bien aimés, ma 2035 qui atteint ses 15 jours de retard et quelques soucis personnels assez graves que ce congrès avait su mettre entre parenthèses.
z
Je suis arrivé de bon matin à la Villette bien décidé à rafraîchir et compléter mes précédentes promenades à la cité des sciences(salle des mathématiques, exploration du langage et bien sûr la fontaine turbulente) .
Les portes de la grande halle n'ouvrent qu'à midi pour le symposium franco magrébin. En attendant, je m'offre une promenade dans le parc de la Villette quasi désert.Je crois que le meilleur moment pour se laisser séduire par un coin de Paris c'est le petit matin vers 9h 10h : ni trop, ni trop peu de monde.
Les jardins sont presque vides . quelques classes d'enfants joyeux et multicolores traversent le pont sur le canal de l'Ourq en riant.
Près de la Géode, un groupe de chinois fait du tai chi chuan, au son d'une musique dégoulinante et pas toujours du meilleur gout. Je reste longtemps à les regarder, comparant leur forme à celle que je pratique. Une dame enseigne en chinois les premiers mouvements de la forme à une autre qui a visiblement du mal à mémoriser les gestes. Dès que la "chef" a le dos tourné et que l'élève a un trou de mémoire je l'aide par des gestes discrets : j'ai presque mémorisé le début.
Je retrouve la Chine que j'aime : celle des pratiquants de tai chi chuan du petit matin. Même leur musique sirupeuse ajoute au charme de la rencontre !
Je n'ai maintenant plus le temps pour la cité des Sciences, car le symposium démarre...Les jours suivants se passent de façon studieuse, avec le plaisir de rencontrer les copains éloignés qu'on ne retrouve que dans les congrès, ou de blaguer avec les collègues de ma région.
Et puis, il y a le film et l'apparition de la lumineuse navigatrice Maud Fontenoy qui fait un discours remarquable sur la préservation des espèces.
Je prends à peine le temps de "faire mon marché" tant le programme est dense .("faire son marché" consiste à passer sur les stands commerciaux labos ou marchands de matériel).
A partir de là,(allez savoir pourquoi ) je vous propose d'écouter ce morceau célèbre des Stones :sympathy for the devil ...
Le samedi, certains ophtalmos sont conviés à rencontrer le pourfendeur de délais de RDV pour écouter ses explications.
Il semble qu'il ait marqué des points, que l'ordre des médecins ne trouve rien à redire à la publicité qui fut faite, que les saintes tutelles se réjouissent, serait ce la force du fait accompli ?
Le fait que nous soyons une minorité d'"indignés" à divers degrés, ne signifie en aucun cas que nous ayons tort.( je vous laisse chercher des exemples où le petit minable et isolé a raison contre le gros vilain pas beau)
Là où entre la finance, elle sème la destruction, il faut vraiment que la médecine soit malade pour accepter un tel parasite.(je parle bien sûr de la finance loin de moi l'idée de traiter ce qui reste un confrère de parasite.)
(vous pouvez couper la musique des stones )
Gabrielle m'a rejoint et ce dimanche matin nous avons pu visiter le musée du Quai Branly .
( bien sûr je passe rapidement sur ma contrepéterie préférée : ils habitaient des gites immondes quai Branly)
Nous y avons vu des choses superbes, mystérieuses, inquiétantes.
l'album est quelque part par là. (encore sur over blog) (page 8-9-10)
Dehors, un soleil estival, la fontaine Saint Michel est cernée par un cordon impressionnant de CRS et de policiers.
Il est temps de rentrer car nous attendent pêle mèle nos chats bien aimés, ma 2035 qui atteint ses 15 jours de retard et quelques soucis personnels assez graves que ce congrès avait su mettre entre parenthèses.
z
le trio infernal
mardi 20 mars 2012
Message personnel : toute ressemblance ...
Cette lettre est destinée à un confrère qui souhaite percer mon identité, suite à un article paru dans le plus du nouvel obs.
Cher ami ,
Vous venez de poser une question à laquelle vous avez la réponse.
Ne comptez pas sur moi pour vous aider sur ce coup là !
Si au départ mon anonymat relatif n'était qu'un jeu, avec le temps il est devenu un précieux bouclier et garant d'une certaine liberté d'écriture.
Moyen détourné d'exprimer certaines idées, de raconter une part de notre quotidien aux parents et amis, ce blog a dérivé récemment vers des articles plus politiques ou une implication dans la défense d'une" certaine idée de l'ophtalmologie et de la médecine".
Dans mes écrits tant professionnels que politiques, j'ai essayé d'être prudent et modéré. Vous pourrez constater que même les confrères qui m'ont agacé au plus haut point ont été relativement ménagés, tout juste "poliment écorchés".
Je n'ai pas la renommée de certains médecins blogueurs de la toile qui peuvent se permettre d'écrire en leur nom propre et se rire des critiques voire des insultes.
Je n'ai donc pas l'intention de sortir de cet anonymat, s'il le faut je mentirai effrontément, brouillerai les pistes et nierai l'évidence.
Si vous souhaitez des précisions, je vous invite à m'envoyer un mail (mon adresse : rhinozigmund@yahoo.fr ) ou à laisser un commentaire. J'y répondrai, ou si vous préférez, nous en discuterons lors d'une prochaine réunion ou autour d'un verre.
Si je puis me permettre, ne perdez pas de temps et d'énergie avec ma petite personne, vous avez des questions bien plus importantes sur le feu.
Nos choix politiques divergent probablement , mais pour ce qui concerne la défense de l'ophtalmologie et de mes confrères, vous me trouverez toujours à vos côtés.
Soyez assuré de mon amitié confraternelle .
Cher ami ,
Vous venez de poser une question à laquelle vous avez la réponse.
Ne comptez pas sur moi pour vous aider sur ce coup là !
Si au départ mon anonymat relatif n'était qu'un jeu, avec le temps il est devenu un précieux bouclier et garant d'une certaine liberté d'écriture.
Moyen détourné d'exprimer certaines idées, de raconter une part de notre quotidien aux parents et amis, ce blog a dérivé récemment vers des articles plus politiques ou une implication dans la défense d'une" certaine idée de l'ophtalmologie et de la médecine".
Dans mes écrits tant professionnels que politiques, j'ai essayé d'être prudent et modéré. Vous pourrez constater que même les confrères qui m'ont agacé au plus haut point ont été relativement ménagés, tout juste "poliment écorchés".
Je n'ai pas la renommée de certains médecins blogueurs de la toile qui peuvent se permettre d'écrire en leur nom propre et se rire des critiques voire des insultes.
Je n'ai donc pas l'intention de sortir de cet anonymat, s'il le faut je mentirai effrontément, brouillerai les pistes et nierai l'évidence.
Si vous souhaitez des précisions, je vous invite à m'envoyer un mail (mon adresse : rhinozigmund@yahoo.fr ) ou à laisser un commentaire. J'y répondrai, ou si vous préférez, nous en discuterons lors d'une prochaine réunion ou autour d'un verre.
Si je puis me permettre, ne perdez pas de temps et d'énergie avec ma petite personne, vous avez des questions bien plus importantes sur le feu.
Nos choix politiques divergent probablement , mais pour ce qui concerne la défense de l'ophtalmologie et de mes confrères, vous me trouverez toujours à vos côtés.
Soyez assuré de mon amitié confraternelle .
dimanche 18 mars 2012
Cécité et disparition programmée (version longue)
dimanche 11 mars 2012
Cécité et disparition programmée
Ce n'est pas la première fois que j'aborde le problème et j'ai bien l'impression de me répéter.
Vous qui passez par ici, avez probablement compris que si votre ophtalmologiste vous donne un rendez vous dans 3 -6 ou 12 mois, c'est parce qu'il n'a pas le choix et que la solution de doubler ou de tripler son temps de travail et d'accroître sa productivité,(en diminuant drastiquement le temps qu'il passe avec le malade) est un leurre.
Vous qui passez par ici, avez probablement compris que si votre ophtalmologiste vous donne un rendez vous dans 3 -6 ou 12 mois, c'est parce qu'il n'a pas le choix et que la solution de doubler ou de tripler son temps de travail et d'accroître sa productivité,(en diminuant drastiquement le temps qu'il passe avec le malade) est un leurre.
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