Depuis quelques années, nous avons pris l’habitude de louer un appartement à Locmariaquer.
Là nous retrouvons des amis qui sont quasi nos voisins : pris par nos activités, nous n’avons pas le temps de nous rencontrer pendant l’année. Nos amis ont une jolie boutique saisonnière dans le coin. Faire un pub directe pour leurs belles créations risquerait de localiser le rhinocéros…Donc nos amis travaillent, et nous les rejoignons le soir, ou pour quelques excursions.
Là nous retrouvons des amis qui sont quasi nos voisins : pris par nos activités, nous n’avons pas le temps de nous rencontrer pendant l’année. Nos amis ont une jolie boutique saisonnière dans le coin. Faire un pub directe pour leurs belles créations risquerait de localiser le rhinocéros…Donc nos amis travaillent, et nous les rejoignons le soir, ou pour quelques excursions.
L’excursion de cette année s’est faite à Belle Ile, par une journée grise …peut être est ce pour çà que l’ile ne nous a pas conquis. Sauzon est pourtant un port plein de charme, le restaurant du phare (accueil et nourriture +++) est une bonne adresse. Nous en revenons à notre premier coup de foudre : de toutes les iles c’est la Houat qu’on préfère.
(une mention spéciale pour Berder où j’ai de bons souvenirs de stages de tai chi et d’un stage de go).
Les huit jours se passent donc en lecture de romans ou sudoku, repos, rencontres avec les amis artisans du coin, pique niques sur la plage, visites de dolmens, passage devant les alignements de Carnac histoire de vérifier que les menhirs n’ont pas bougé.
Je n’ai jamais oublié la fascination de ma première rencontre avec le site il y a bien longtemps. Il est moins impressionnant maintenant que des grilles le protègent.
Il y a eu aussi une ballade en bateau pour revoir le cairn de Gavrinis à bord du Mane Elisabeth , un sympathique bateau . Tout en admirant les iles du golfe qu’on frôle, on écoute du jazz ou de la musique irlandaise.
Le dernier soir, a été consacré à une dégustation d’huitres au « petit chantier »directement chez Miriam l’ostréicultrice. Bonheur total, et en cas de fraicheur nocturne, Miriam prête polaires et doudounes.
Un petit tour chez l’ami Fred qui liquide malheureusement son épicerie fine : je regarde avec nostalgie le comptoir ancien, la balance, les bocaux d’épices ; nous achetons du champagne, toutes sortes d’épices, des savons, des huiles essentielles, je n’ose prendre des photos de l’intérieur pour éviter d’augmenter la peine de Fred.